1824: MOSSELMAN verwerft zinkfabriek Moresnet

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1824: MOSSELMAN verwerft zinkfabriek Moresnet
L’origine de la production de zinc en terre liégeoise remonte au début du XIXe siècle.

En 1806 déjà, Napoléon Ier avait en effet concédé par décret impérial l’exploitation du gisement calaminaire de la Vieille-Montagne à La Calamine à Jean-Jacques Daniel Dony qui avait inventé et mis au point un procédé original de réduction du zinc à l’état de métal. C’est ainsi qu’est née à Liège même la fonderie de Saint-Léonard qui, avec la concession minière de Moresnet, constituait l’essentiel du patrimoine industriel dont se rendit acquéreur en 1824 François-Dominique Mosselman qui, avec la Banque de Belgique, fonda en 1837 la Société des Mines et Fonderies de Zinc de la Vieille-Montagne.

Jadis, l’usine Cuivre et Zinc était plus souvent dénommée « chez Pirlot ». Au début du XIXe siècle, localement, trois usines travaillaient le cuivre. Il s’agissait des usines Francotte, Chaudoir et Pirlot. Leur fusion, en 1882, amena la constitution de la S.A. des Usines à Cuivre et à Zinc de Liège. Le château avait été acquis en 1855 par Ferdinand Pirlot. En 1904, l’usine de Liège est transférée à Chênée, où on lamine du cuivre, du laiton et du zinc. Elle prendra une telle extension qu’au début du XXe siècle, elle entraînera la démolition du château.

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(20060122) > geeft ook gravure
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